Yama a fait ses premiers pas chez geninc à Bruxelles.
Si elle a eu des obstacles liés à sa langue natale différente, elle a su s’adapter, apprendre et dépasser ses limites. La voilà désormais franchisée !

Ton parcours avant de devenir ambassadeur de marques ?

J’ai fait plein de choses avant geninc !
J’ai commencé par des études d’architecte pendant 1 an.
Ensuite, j’ai fait un an de cinéma, j’ai fait des études en tant qu’actrice, scénariste. J’aimais beaucoup mais j’ai finalement arrêté parce que mes parents avaient peur pour moi. Ils voulaient me voir dans quelque chose de plus stable. Je me suis alors lancée dans une formation dans les assurances pendant 3 ans où j’ai pu faire un stage et trouver du travail. J’ai décidé d’arrêter mes études à ce moment-là pour travailler à temps plein mais je me suis très vite ennuyée, c’était toujours la même chose et je voulais plus d’indépendance. J’ai commencé à créer des projets de mon côté comme le lancement d’un site web de vêtements qui s’est avéré très compliqué. C’est finalement à cette période que geninc m’a contactée. Je n’ai pas immédiatement compris le concept comme on ne parlait pas la même langue mais j’ai pris le pari, je me suis dit “pourquoi pas ?”.

Ton expérience en tant qu’ambassadeur de marques ?

Au début, c’était difficile pour moi à cause de la langue mais l’activité me permettait vraiment de bouger, de ne pas être enfermée dans un bureau et de me challenger donc je suis restée, je me suis formée et me suis donnée les moyens de réussir. C’est de cette façon que j’ai réussi à faire mes premières ventes et quelle joie ! J’aime aussi l’ambiance particulière qu’on peut trouver chez geninc, on a l’impression d’être en famille, tout le monde est bienveillant et positif, c’est contagieux. Pour une fois je me plaisais vraiment dans ce que je faisais donc j’ai décidé de mettre toute mon énergie pour aller le plus loin possible.

Je suis devenue beaucoup plus enthousiaste et ambitieuse.

Qu’est-ce qui t’a attiré quand tu as commencé ?

Sans aucun doute, l’ambiance ! Beaucoup de personnes qui pensent comme moi, qui veulent faire des choses différentes, être indépendants. Avec geninc, on a cette possibilité, cette flexibilité. On peut choisir nos heures, nos jours, nos objectifs.
Je suis devenue beaucoup plus enthousiaste et ambitieuse.
C’est ce qui m’a permis aussi de sortir de ma zone de confort et de me développer personnellement. Au début, j’apportais peu d’importance à faire des ventes parce que je voyais surtout que j’évoluais chaque jour. Je me sentais plus à l’aise dans mes échanges avec les autres, j’osais faire le premier pas et je me voyais m’ouvrir au fur et à mesure.

Je vais pouvoir soutenir ma mère comme elle m’a toujours soutenue dans mes projets.

Qu’est-ce qui va changer, maintenant que tu es franchisée ?

Ce sera différent, financièrement notamment. Je vais pouvoir soutenir ma mère comme elle m’a toujours soutenue dans mes projets.
J’envisage également de recréer une marque de vêtements. Je m’en sens capable aujourd’hui grâce à mes expériences et mon évolution avec geninc.
Je souhaite aussi créer des puits pour le Sénégal, l’Asie et faire grandir mon association Warriors Humanity qui permet la distribution de repas aux plus démunis à Bruxelles.

Ton objectif ? Où tu te vois dans 5 ans ?

Plus tard, je voudrais assurer un développement commercial de mon association en Afrique en ayant une organisation sur place. Sur le long terme, j’envisage également d’ouvrir des bureaux geninc un peu partout en Belgique.

3 conseils à un futur franchisé ?

  • Avoir un bon mental. Il faut travailler dur, accepter les hauts et les bas et se fixer des objectifs plus grands que ses excuses.
  • Être humble, reconnaissant de ce que geninc peut nous offrir.
  • Persévérer, savoir être patient, ne pas abandonner. Les grandes choses prennent du temps.