Portrait de Jiri
Issu d’une famille de sportifs, Jiri se destinait à une carrière dans le basketball.
Après différentes blessures, il a été contraint d’arrêter ce projet afin de se lancer dans sa toute première expérience professionnelle.
C’est auprès de Geninc qu’il débute pour devenir rapidement franchisé.
Ton parcours avant de devenir ambassadeur de marques ?
J’étais à l’université pour étudier les TIC – Technologies de l’information et de la communication – donc la programmation informatique, entre autres.
En même temps, je faisais beaucoup de sport.
Mon père est un entraîneur sportif et ma mère était une grande championne de natation néerlandaise. Toute ma famille tourne autour du sport.
J’avais moi-même le désir de consacrer ma vie au sport.
C’est pourquoi mes parents m’ont encouragé dans cette voie. Ils m’ont donné la possibilité de suivre mes objectifs et de construire ma vie autour du sport, mais ils ont également insisté pour que j’étudie en parallèle.
À partir de 13 ans, j’ai commencé à jouer au basket assez souvent, et après 2 ou 3 ans, j’ai commencé à jouer à un très haut niveau dans un club de basket à Anvers.
À l’époque, mon quotidien consistait à m’entraîner 6 fois par semaine, avec 2 séances d’entraînement par jour, puis des matchs le week-end.
Mon kinésithérapeute ne s’occupait pas très bien de moi, si bien que j’ai commencé à avoir des douleurs au genou, au dos, etc. au point de devoir subir une opération du genou.
Il m’était donc impossible de poursuivre une carrière dans le basket.
Je n’ai jamais été le genre de personne à dire « j’abandonne parce que je n’ai pas eu de chance ».
Je voulais vraiment réussir quelque chose dans ma vie. J’ai donc décidé de commencer à travailler directement.
J’ai évidemment dû revoir tous mes plans. Je n’avais jamais eu d’expérience professionnelle avant cela.
J’ai donc dû réfléchir à ce que je voulais faire de ma vie. Et c’est à ce moment-là que j’ai pris contact avec Geninc.
Ton expérience en tant qu’ambassadeur de marques ?
Lors de mon premier entretien avec Jorik, il m’a expliqué qu’être ambassadeur de marque demandait beaucoup de travail. Il a insisté sur l’éthique du travail et sur la liberté que j’aurais. Nous nous sommes vraiment compris de nos différents points de vue. C’est ce qui m’a donné envie de rejoindre Geninc en premier lieu.
De plus, j’ai réalisé que l’état d’esprit que j’avais développé grâce au sport, je pouvais également le retrouver chez Geninc. C’est quelque chose qui m’a beaucoup plu.
Qu’est-ce qui t’a attiré quand tu as commencé ?
Ce qui m’a attiré encore plus après mes premiers jours, c’est l’environnement de travail.
Tout le monde s’entraide et se pousse à aller plus loin. Nous grandissons et apprenons de nouvelles choses ensemble.
On se réveille et on s’améliore chaque jour.
De plus, nous avons tous à peu près le même âge, ce qui rend l’atmosphère du coworking très vivante. Ce n’est pas le cas dans la plupart des lieux de travail.
Évidemment, ce qui m’a également séduit, c’est le fait de travailler sur commissions et de pouvoir devenir indépendant.
Ce qui m’a fait rester à Geninc, c’est qu’en rentrant chez moi, je me suis dit « ok, c’est l’endroit où je me vois pendant pour les années à suivre”.
Comment tu vois ton développement ?
J’ai toujours été un travailleur acharné avec une forte mentalité.
Je ne suis pas quelqu’un qui abandonne facilement.
Mais je n’ai jamais vraiment été « super doué » en tout. Cela signifie que si je veux réaliser quelque chose, je peux le faire, mais cela demande beaucoup de travail.
Quand j’ai commencé à Geninc, j’étais très introvertie. C’était au point que je devais demander de l’aide pour obtenir quelque chose de quelqu’un. J’avais vraiment peur de parler à des inconnus.
Alors oui, je peux dire qu’être ambassadeur de marque chez Geninc est l’un des plus grands défis que j’ai relevé.
Cela m’a donné confiance dans ma capacité à être entourée de gens, à parler aux gens et cela m’a vraiment aidée à grandir.
Qu’est-ce qui va changer, maintenant que tu es franchisé ?
Chaque étape que nous franchissons est un cours de remise à niveau.
Nous sommes toujours en train d’apprendre. Avec chaque nouvelle chose qui m’arrive, je deviens plus conscient de ce que je dois travailler pour m’améliorer.
La raison pour laquelle j’ai voulu être un entrepreneur est de pouvoir m’établir tout en bénéficiant d’un soutien à côté. Mais ce que j’aime vraiment, c’est la flexibilité dont on dispose.
C’est pourquoi, en tant que franchisé, l’un de mes objectifs est de pouvoir rendre nos outils et notre environnement plus dynamiques, ce qui passe par l’innovation.
Ton objectif ? Où tu te vois dans 5 ans ?
Grâce à l’expérience de mon père en tant qu’entraîneur, j’ai appris combien il est gratifiant d’aider quelqu’un à se développer et à atteindre ses objectifs.
J’aimerais suivre le même chemin.
Mon objectif principal est de donner à chacun les mêmes opportunités.
Les aider à ouvrir de nouveaux coworking, que ce soit en Belgique ou à l’étranger.
Les pousser à aller toujours plus loin.
J’aimerais contribuer au réseau de manière générale. Aider au développement de nouveaux outils par exemple, au recrutement, etc.
3 conseils à un futur franchisé ?
- On en revient toujours au processus. Les résultats sont importants, donc si vous créez les bonnes habitudes et le bon processus, les résultats finiront par arriver. Ne vous focalisez pas trop sur le résultat, mais plutôt sur la façon dont vous faites les choses.
- N’abandonnez pas. Vous aurez des hauts et des bas, c’est normal. Mais le plus important est de ne pas vous reposer sur vos lauriers et de toujours vouloir aller plus loin pour ne pas rester bloqué dans un état d’esprit négatif.
- Emmenez toujours des gens avec vous. Chaque fois que vous avez l’occasion d’aider quelqu’un à réussir, faites-le. Parce que ce sera une reconnaissance pour eux et pour vous. C’est aussi une façon d’apprendre comment agir avec quelqu’un d’autre, ou comment agir s’il ne vous donne rien en retour.
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